Pourquoi parle-t-on si peu de ces planètes ?
Le premier point à soulever lorsque l’on traite de ces planètes est leur situation dans l’espace qui est éloignée du quartier céleste. En effet, Neptune se situe à plus de 4,3 milliards de kilomètres de la Terre tandis que Uranus, quant à elle est à plus de 2,7 milliards de kilomètres.
Les deux planètes, aussi surnommées « géantes de glace », n’ont que rarement étés soumises à l’étude. De ce fait, les seuls portraits d’Uranus et Neptune proviennent de la sonde « Voyager 2 » envoyée dans l’espace lors des années 80. Contrairement à ses consœurs, des sondes ou des missions ont été envoyés vers Mercure, Jupiter ou encore Saturne. La planète Mars a même eu le privilège de se voir collecter des échantillons et de recevoir plusieurs véhicules qui évoluent sur celle-ci.
Une nouvelle aire pour ces géantes des glaces ?
Récemment, une opportunité d’être enfin découvertes à leur juste valeur vient de se déclarer. Assurément, cela sera réalisable grâce à Jupiter, une planète gazeuse également, qui apportera une assistance gravitationnelle nécessaire au bon déroulement de la mission.
Ladite mission serait mise en place pour le début des années 2030 avec une fusée possédant la puissance nécessaire pour atteindre Jupiter en prêt de deux ans. Une fois ceci fait, la fusée, type Space Launch System de la National Aeronautics and Scape Administration (NASA), se séparerait en deux parties pour se diriger respectivement vers Uranus et Neptune en une dizaine d’années.
Qu’apporterait donc une telle mission ?
Une fois en orbite, ces sondes pourraient évoluer pendant une décennie permettant alors d’en apprendre plus sur ces deux planètes si souvent délaissées. Néanmoins, l’objectif primordial de cette mission serait d’étudier les ondes gravitationnelles émaner lors d’évènement violents provoquer au sein même de l’univers qui ne sont reçues que de manière imperceptible sur notre belle planète bleue. Le problème qui découle de ces ondes imperceptibles pour nous est, principalement, quelles pourraient entrainer une modification de la distance entre les vaisseaux et la Terre.
Pour pallier cela, il sera alors primordial pour les techniciens à l’étude d’être en constante communication avec les vaisseaux et inversement également. De ce fait, un conséquent travail de précision sera alors nécessaire au niveau de la mesure des fréquences des communications radio ainsi qu’une technologie suffisamment développée.
Véritablement, ces avancées permettraient d’observer de nouveaux phénomènes comme la fusion d’un trou noir avec la différence de masse.
Mais alors, quels secrets ces planètes vont elles nous révéler ? Et plus précisément, quelles avancées vont être possible grâce à cette mission ?
